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Pourquoi Jésus a-t-il choisi Judas comme disciple ?

Pour répondre à votre question sur le choix de Judas comme disciple par Jésus, nous devons examiner plusieurs aspects des Écritures et du contexte historique.

  1. La Souveraineté de Dieu :

    • Jésus, en tant que Fils de Dieu, connaissait le cœur de chaque homme. Dans Jean 6:70-71, il est écrit : "Jésus leur répondit : N'est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous les douze ? Et l'un de vous est un démon. Il parlait de Judas, fils de Simon Iscariot ; car c'était lui qui devait le livrer, lui, l'un des douze." (Jean 6:70-71). Cela montre que Jésus était conscient du rôle que Judas jouerait dans le plan divin.
  2. Accomplissement des Écritures :

    • Le choix de Judas et sa trahison étaient prophétisés dans l'Ancien Testament. Par exemple, dans le Psaume 41:10, il est écrit : "Celui-là même avec qui j'étais en paix, Qui mangeait mon pain, A levé le talon contre moi." (Psaume 41:10). Ce verset est souvent interprété comme une prophétie concernant la trahison de Judas.
    • Dans Jean 13:18, Jésus lui-même fait référence à cette prophétie : "Ce n'est pas de vous tous que je parle ; je connais ceux que j'ai choisis. Mais il faut que l'Écriture s'accomplisse : Celui qui mange avec moi le pain A levé son talon contre moi." (Jean 13:18).
  3. Le Libre Arbitre :

    • Bien que Judas ait été choisi comme disciple, il avait encore le libre arbitre. Sa trahison n'était pas forcée mais était le résultat de ses propres choix. Dans Luc 22:3-4, il est écrit : "Or, Satan entra dans Judas, surnommé Iscariot, qui était du nombre des douze. Et Judas alla s'entendre avec les principaux sacrificateurs et les chefs des gardes, sur la manière de leur livrer." (Luc 22:3-4). Cela montre que Judas a pris la décision de trahir Jésus.
  4. Leçon Spirituelle :

    • Le choix de Judas peut également servir de leçon pour les croyants. Il montre que même parmi ceux qui sont proches de Jésus, il est possible de tomber dans la tentation et de s'éloigner de Dieu. Cela rappelle aux croyants l'importance de rester vigilants et fidèles.
Cette réponse est celle de HelloBible

Voici la réponse de ChatGPT à la même question:

La question de pourquoi Jésus a choisi Judas Iscariot comme l'un de ses disciples est complexe et a été débattue par les théologiens, les historiens et les érudits bibliques depuis des siècles. Voici quelques perspectives sur cette question :

1. Libre arbitre et responsabilité

Jésus a donné à Judas, comme à tous ses disciples, le libre arbitre. Judas a choisi de trahir Jésus de son propre gré. Selon cette perspective, Jésus n'a pas choisi Judas pour le trahir, mais il connaissait la possibilité de cette trahison. Cela met en avant l'idée de la responsabilité individuelle et du libre arbitre dans les actions humaines.

2. Accomplissement des prophéties

Certaines prophéties de l'Ancien Testament, comme celles trouvées dans les Psaumes, semblent faire référence à la trahison de Jésus par un proche (voir Psaume 41:9). Dans cette perspective, Judas a joué un rôle nécessaire dans le plan divin pour accomplir ces prophéties, et Jésus, en tant que Messie, connaissait ce rôle.

3. Leçon spirituelle et morale

Le choix de Judas peut aussi être vu comme une leçon spirituelle pour les croyants. Judas représente l'idée que même parmi les plus proches de Jésus, il peut y avoir des faiblesses et des trahisons. Cela montre la nature complexe de la foi humaine et la nécessité de vigilance spirituelle.

4. Mission et diversité

Jésus a choisi des disciples avec des origines et des caractères variés pour montrer que son message était universel et s'adressait à tous, indépendamment de leurs faiblesses ou défauts. Judas, en tant que collecteur d'impôts, pourrait symboliser une partie de la société que Jésus voulait atteindre et transformer.

5. Mystère divin

Certaines interprétations théologiques soutiennent que les voies de Dieu sont souvent au-delà de la compréhension humaine. Le choix de Judas pourrait relever du mystère divin, avec des raisons que nous ne pouvons pleinement comprendre.

En résumé, le choix de Judas comme disciple par Jésus peut être interprété de multiples façons, combinant libre arbitre, accomplissement prophétique, leçons spirituelles, et mystère divin. Chacune de ces perspectives offre une vision différente de la complexité de ce choix et de son impact sur l'histoire du christianisme.


La sélection spirituelle en question

Début 2023, nous avons posé cette question à ChatGPT:
Y a-t-il sélection spirituelle ?

Nous venons de poser la même question à HelloBible (*).
Voici sa réponse:

Pour répondre à vos questions, examinons chaque verset et son contexte pour mieux comprendre ce qui est enseigné.

Actes 14:22

"Confirmant l'esprit des disciples, les exhortant à persévérer dans la foi, et disant que c'est par beaucoup de tribulations qu'il nous faut entrer dans le royaume de Dieu" (Actes 14:22).

  • Contexte : Paul et Barnabas, après avoir prêché l'Évangile et établi des disciples, les encouragent à rester fermes dans leur foi malgré les persécutions.
  • Explication : Ce verset souligne que la vie chrétienne n'est pas exempte de difficultés. Les tribulations sont vues comme une partie intégrante du cheminement vers le Royaume de Dieu, mais elles ne sont pas une forme de sélection naturelle. Elles servent plutôt à raffermir la foi et la persévérance des croyants.

Matthieu 22:14

"Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus" (Matthieu 22:14).

  • Contexte : Ce verset conclut la parabole du festin de noces, où beaucoup sont invités mais peu sont choisis pour y participer.
  • Explication : L'accent est mis sur la réponse à l'appel de Dieu. Tous sont invités à faire partie du Royaume, mais seuls ceux qui répondent de manière appropriée à cet appel sont choisis. Cela ne signifie pas une sélection naturelle mais une réponse personnelle à l'appel divin.

Matthieu 24:13

"Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé" (Matthieu 24:13).

  • Contexte : Jésus parle des temps de la fin et des épreuves à venir.
  • Explication : La persévérance dans la foi est essentielle pour le salut. Ce verset encourage à rester ferme dans la foi malgré les épreuves. Ce n'est pas une question de force spirituelle, mais de fidélité et de constance.

Matthieu 11:12

"Depuis le temps de Jean-Baptiste jusqu'à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en emparent" (Matthieu 11:12).

  • Contexte : Jésus parle de la manière dont le Royaume de Dieu est reçu depuis l'époque de Jean-Baptiste.
  • Explication : Le terme "violents" ici peut être interprété comme ceux qui sont déterminés et zélés dans leur quête du Royaume. Ce n'est pas une sélection des plus forts, mais une exhortation à être résolu et passionné dans la recherche du Royaume de Dieu.

Sélection et Jugement

  • Séparation des brebis et des boucs : "Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs" (Matthieu 25:32).

  • Gagner la course : "Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix? Courez de manière à le remporter" (1 Corinthiens 9:24).

  • Contexte : Ces passages parlent du jugement final et de la nécessité de vivre une vie fidèle et dévouée à Dieu.

  • Explication : Il ne s'agit pas de sélection naturelle mais d'une évaluation divine basée sur la foi et les œuvres. Le jugement final sépare ceux qui ont vécu selon la volonté de Dieu de ceux qui ne l'ont pas fait.

Conclusion

L'idée de "sélection" dans ces versets ne correspond pas à la sélection naturelle de Darwin. Il s'agit plutôt de la réponse à l'appel de Dieu, de la persévérance dans la foi et de la fidélité aux enseignements de Jésus. Le jugement final est basé sur des critères spirituels et moraux plutôt que sur une compétition ou une force spirituelle.


(*) 
"Le verset « C’est par beaucoup de tribulations qu’il nous faut entrer dans le Royaume de Dieu » (Actes 14:22) nous enseigne-t-il qu’il y aurait une sélection spirituelle (sur le modèle de la sélection naturelle de Darwin) ? De même pour « Il y a beaucoup d’appelé(e)s, mais peu d’élu(e)s » (Matthieu 22:14) et « Celui/celle qui restera ferme jusqu’au but, celui/celle-là sera sauvé(e) » (Matthieu 24:13).

Le verset « Le Royaume des cieux est forcé, et ce sont les violent(e)s qui s’en emparent » (Matthieu 11:12) signifie-t-il que ce sont les plus forts – spirituellement parlant – qui gagnent ?

N’avons-nous pas dans tous ces versets une allusion à une sélection, du style « l’un(e) sera pris(e), l’autre laissé(e) » ? N’est-il pas par ailleurs agendé un jugement/tri pour séparer les brebis des boucs ? N’est-ce pas récompenser les mieux adapté(e)s ?

Paul ne parle-t-il pas également de gagner la course ? Tout cela n’entre-t-il pas dans un processus de test/sélection ?"

Quelle est l'utilité de la Bible des Septante ?

ChatGPT, quelle est l'utilité de la Bible des Septante ?

La Bible des Septante, ou Septante (souvent abrégée LXX), est la traduction grecque de la Bible hébraïque réalisée entre le IIIe et le Ier siècle avant J.-C. à Alexandrie. Elle a une importance considérable dans divers domaines : religieux, historique, linguistique et textuel. Voici quelques-unes de ses principales utilités :

1. Historique et culturelle

  • Transfert de la culture hébraïque dans le monde hellénistique : La Septante a joué un rôle crucial dans la diffusion des Écritures hébraïques parmi les Juifs de la diaspora qui ne parlaient plus l'hébreu mais le grec, et elle a rendu ces textes accessibles au monde gréco-romain.
  • Contexte historique : Elle offre un aperçu des interactions culturelles et religieuses entre les Juifs et les Grecs à une époque charnière de l'histoire.

2. Théologique et religieuse

  • Utilisation par les premiers chrétiens : La Septante était largement utilisée par les premiers chrétiens, y compris les auteurs du Nouveau Testament, qui citaient souvent l'Ancien Testament selon cette version. Elle a ainsi influencé le développement de la théologie chrétienne.
  • Éclaircissement des doctrines chrétiennes : Les différences entre la Septante et le texte hébreu massorétique peuvent parfois éclairer des points de doctrine ou des interprétations théologiques spécifiques du christianisme primitif.

3. Linguistique et philologique

  • Étude de la langue grecque : La Septante est une source précieuse pour l'étude du grec ancien, en particulier du grec koinè, la langue commune de l'époque hellénistique. Elle contribue à notre compréhension de l'évolution de la langue grecque.
  • Comparaison textuelle : Elle permet aux chercheurs de comparer les versions grecque et hébraïque des textes bibliques, ce qui peut révéler des variantes textuelles et aider à reconstituer le texte original.

4. Critique textuelle et canonique

  • Préservation des textes anciens : La Septante contient des livres et des passages qui ne sont pas présents dans le canon hébraïque (massorétique) mais qui sont inclus dans le canon de certaines églises chrétiennes, comme les Églises orthodoxes. Cela inclut des livres comme les Maccabées, la Sagesse de Salomon, et d'autres.
  • Variantes textuelles : La comparaison entre la Septante et le texte massorétique peut aider à identifier des variantes textuelles, des erreurs de copie, ou des modifications théologiques dans la transmission des textes bibliques.

5. Liturgique et ecclésiastique

  • Utilisation liturgique : La Septante est toujours utilisée dans la liturgie des Églises orthodoxes orientales, ce qui en fait un texte vivant et pratiqué dans les traditions chrétiennes actuelles.
  • Base du canon chrétien : Pour de nombreuses traditions chrétiennes, la Septante a contribué à la formation du canon de l'Ancien Testament, et elle est souvent citée dans les écrits des Pères de l'Église.

6. Herméneutique et exégétique

  • Interprétation des Écritures : La Septante offre une perspective différente sur l'interprétation des Écritures hébraïques, reflétant souvent des traditions exégétiques plus anciennes ou différentes. Elle est un outil précieux pour les exégètes cherchant à comprendre les diverses manières dont les textes bibliques ont été interprétés à travers l'histoire.

7. Dialogue interreligieux

  • Pont entre le judaïsme et le christianisme : La Septante représente un point de contact important entre le judaïsme et le christianisme, facilitant le dialogue interreligieux en tant que texte sacré partagé par les deux traditions à certaines périodes de l'histoire.

En somme, la Bible des Septante est un outil indispensable pour les études bibliques, historiques, théologiques, et philologiques. Elle enrichit notre compréhension de la transmission et de l'interprétation des textes sacrés et continue d'influencer la foi et la pratique de millions de personnes dans le monde.

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HelloBible, quelle est l'utilité de la Bible des Septante ?

La Septante, également connue sous le nom de LXX, est la traduction grecque de l'Ancien Testament hébreu. Elle a été réalisée entre le IIIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ. Voici quelques points sur son utilité :

  • Pont linguistique et culturel : La Septante a permis de rendre les Écritures hébraïques accessibles à la communauté juive de la diaspora qui parlait principalement le grec. Elle a joué un rôle crucial dans la diffusion des textes sacrés au-delà des frontières d'Israël.

  • Citations dans le Nouveau Testament : De nombreux auteurs du Nouveau Testament ont cité l'Ancien Testament en utilisant la Septante. Par exemple, lorsque Jésus lit les Écritures dans la synagogue de Nazareth, il cite un passage d'Ésaïe qui correspond à la version de la Septante : « L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés » (Luc 4:18-19).

  • Influence théologique : La Septante a influencé la théologie chrétienne naissante. Les concepts et les termes grecs utilisés dans la Septante ont façonné la manière dont les premiers chrétiens comprenaient et interprétaient les Écritures.

  • Texte de référence pour les Pères de l'Église : De nombreux Pères de l'Église, comme Origène, Athanase et Augustin, ont utilisé la Septante dans leurs écrits et leurs enseignements. Elle a été une source importante pour la théologie patristique.

  • Étude comparée des textes : Comparer la Septante avec le texte massorétique (le texte hébreu traditionnel) permet aux chercheurs de mieux comprendre les variations textuelles et les traditions de transmission des Écritures. Par exemple, certaines différences dans les récits peuvent éclairer des aspects théologiques ou historiques particuliers.

La fin du monde

Si on voulait traduire juste, on devrait dire "but des temps".

Dieu vit hors du temps, et au but des temps nous sommes avec Dieu, hors du temps.

Ceci se produit à notre mort physique.


Mais, direz-vous, à notre mort nous sommes dans l'attente, non ?

C'est oublier qu'une fois morts, le temps n'existe plus.

Pour ceux qui restent vivants, vous êtes en attente, mais pour vous, hors du temps, vous êtes directement avec Dieu.

Tout ce qui est encore dans le temps se déroule alors à une vitesse prodigieuse, et vous vous retrouvez avec tous ceux, de tous les temps, qui arrivent, en même temps, au Ciel (ce que Paul a vu lorsqu'il a été enlevé au 3ème Ciel)

Ceci est le but des temps, mal traduit par "fin du monde".


Mais si vous voulez vraiment qu'il y ait une fin du monde, la voici : une fois converti, vous n'êtes plus du monde. Pour vous, la fin du monde a donc eu lieu... et vous êtes alors dans l'attente du but des temps... (lire cet article)

Interprétation spirituelle d'expressions ou passages bibliques

La Bible ne peut être l'objet d'interprétations particulières (Voir 2 Pierre 1:20)


Dans la colonne de gauche, la traduction d'expressions ou de passages tels qu'on les trouve dans la plupart de nos traductions
 


Dans la colonne de droite, on constate que le texte original voyait avec l'oeil de Dieu : le passage ou l'expression avait un sens beaucoup plus spirituel
 


La traduction de l'homme dit...
 


Dieu a dit par l'Esprit aux auteurs inspirés...
 

-En entête de la plupart des Psaumes, nous avons : "Psaume de David"
 
+Ces Psaumes sont pour la plupart "Psaume pour David" : c'est Dieu qui parle à David - Dieu est l'auteur de la Bible
 
-Pour prier : "Entre dans ta chambre..."
(Mat. 6:6)
 
+Pour prier : "Entre dans ton lieu secret..." (litt.: ton trésor)

-Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour
(Mat. 6:11)
 
+Donne-nous aujourd'hui notre pain super-substantiel (le Pain du Ciel, la Manne cachée) - Lire à ce sujet Vous donc, priez ainsi et Le pain super-substantiel
 
-Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point, mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas
(1 Jean 5:18)
 
+Nous savons que quiconque est engendré de Dieu ne pèche pas, mais l'Engendré de Dieu le garde, et le mauvais ne le touche pas
 
-Tout est vanité et poursuite du vent
(Ecclésiaste)
 
+Tout est nuée/souffle (*) et quête de l'Esprit

(*) Nuée : relation avec le monde spirituel (souffle/esprit) de Dieu, via le Saint-Esprit (et les anges) pour les pécheurs sauvés, et via l'esprit de l'homme irrégénéré (et les démons) pour les pécheurs perdus
 
-[Bien]heureux les pauvres en esprit
(Mat. 5:3)
 
+[Bien]heureux les mendiants d'Esprit - demandez l'Esprit, et non seulement vous l'obtiendrez, mais vous serez en grande grâce : [Bien]heureux!
 
-Travaillez à votre salut (faites quelque chose pour être sauvés)
(Phil. 2:12)
 
+Mettez votre salut en oeuvre (vous êtes sauvés : montrez-le! produisez des fruits qui en sont dignes!)
 
-Ayez foi en Jésus
(dans plusieurs passages cités au chapitre La foi DE Jésus)
 
+Ayez la foi de Jésus - Lire à ce sujet La foi DE Jésus
 
-Qu'ils soient libéraux
(1 Tim. 6:18)
 
+Qu'ils soient disposés à partager
 
-N'abandonnant pas notre assemblée
(Hébreux 10:25)
 
+N'abandonnant pas le rassemblement de nous-mêmes (cela inclut également notre mise à part dans la prière, la lecture, la joie dans Sa présence, le recueillement, etc.) avec Lui (litt. le sur-rassemblement).

Et étant rassemblés avec (et en) Lui, nous n'abandonnerons pas le fait de nous rassembler avec d'autres.
 
-C'est moi
(Jésus, à plusieurs reprises)
 
+JE SUIS (Il affirme son identité avec le JE SUIS qui apparut à Moïse)
 
-Hébreux 4:12 Car la parole de Dieu est vivante et opérante, et plus pénétrante qu'aucune épée à deux bouches, et atteignant jusqu'à la division de l'âme et de l'esprit, des jointures et des moelles ; et elle discerne les pensées et les intentions du coeur.

Hébreux 4:13 Et il n'y a aucune créature qui soit cachée devant lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire.
 

+La parole dont il est ici question est le Logos, le Christ, et non pas la Bible... le glissement entre le v.12 et le v.13 du féminin au masculin met clairement cela en évidence : il s'agit dans les 2 cas du Logos

La plupart des passages du NT parlant de la parole concernent le Logos, le Christ

 

-La venue de Jésus
(à plusieurs reprises dans le NT)
 
+Le mot grec est parousia, à savoir la présence, ici et maintenant, du Christ dans nos coeurs
 
-Les 10 commandements
 
+Les verbes sont au futur, et non pas à l'impératif - il ne s'agit pas d'ordres, mais de promesses : quand tu auras foi en moi (relation avec moi), tu seras à même de faire ceci et cela, car c'est Moi (le Seigneur) qui le ferai à travers toi
 

 
source

Rédemption et rémission

Rédemption : délivrance moyennant rançon, rachat d'un captif
Rémission : remise d'une dette

Notre dette, c'est de devoir à Dieu le fait que c'est Lui qui décide ce qui est bien et de ce qui est mal.

Ne pas l'avoir fait nous a fait dévier, et nous Lui devons également de ne pas nous avoir laissé tomber : au contraire, Il nous délivre de tout ce dont notre attitude nous a rendus captifs.

Cette dette n'est finalement pas négative : si Dieu estime que nous Lui devons quelque chose, c'est pour que nous nous approchions de Lui, Dieu d'Amour, pour nous annoncer qu'Il nous remet la dette.

Nous nous approchons de Lui d'autant plus que non seulement la dette est payée, mais que nous sommes délivrés de la captivité où notre attitude nous avait menés.

En effet, vouloir décider à la place de Dieu, c'est tomber dans des pièges qui font de nous des esclaves, nous rendent dépendants de diverses choses (courants de pensées, idoles, religions, etc.), nous conditionnent à ne plus penser par nous-mêmes, nous déchoient de Sa Royauté sur nous-mêmes.

Mais comment, diront certains, une croyance peut-elle nous libérer ? ne nous rend-elle pas plutôt aliénés ? ne nous rend-elle pas esclaves ?

Si, bien sûr, la croyance nous aliène, nous rend esclaves.

Par contre, la foi, relation avec Dieu, est du domaine du réel, quelque chose d'expérimentable, et n'a rien à voir avec la croyance.

L'heure est venue où les athées et les religieux, qui sont sincèrement athées et sincèrement religieux, doivent ouvrir les yeux et leur coeur pour comprendre que ce qu'ils combattent ou ce qu'ils pratiquent n'a rien à voir avec la réalité.

source

Le mensonge

Le mensonge (littéralement pseudo), c'est ce qui n'est pas conforme à la réalité

La vérité, ce qui est conforme à la réalité, implique la relation avec Dieu, car sans celle-ci, il y a rupture d'avec la réalité, donc erreur (errance), qui conduit à ce qui n'est pas conforme à la réalité, au pseudo, au mensonge.
Les esprits qui s'attachent à ce qui n'est pas conforme à la réalité se construisent leur propre référentiel, qui leur servira pour mesurer ce qui les entoure, pour juger, trier, évaluer, décider de ce qui est bien et de ce qui est mal, de ce qui est juste et de ce qui est injuste, de ce qui est beau et de ce qui est laid, de ce qui est bon et de ce qui est mauvais.
C'est pourquoi il nous est demandé de discerner les esprits :

ne croyez pas tout esprit, mais éprouvez les esprits [pour voir] s'ils sont de Dieu, car beaucoup de pseudo prophètes sont sortis dans le monde (1 Jean 4:1)

pseudo prophètes - pseudo frères - pseudo apôtres - pseudo pasteurs - pseudo enseignants : ils ont l'apparence de ce qu'ils ne sont pas

  • les pseudo prophètes disent Dieu dit, mais Dieu n'a pas dit (pseudo inspirés)
  • les pseudo frères sont ceux qui ne sont pas engendrés du Père
  • les pseudo apôtres ne sont pas envoyés par Dieu
  • les pseudo pasteurs tondent les brebis pour leur profit, ne les soignent pas, ne les protègent pas, les laissent se faire manger par les loups (quand ils ne sont pas eux-mêmes les loups)
  • les pseudo enseignants enseignent des fables (2 Tim 4:4), utilisent leur psychisme pour expliquer les choses de l'esprit, traduisent les textes sans l'Esprit

Le pseudo détourne de Dieu

De même que l'insensé regarde notre doigt lorsque nous lui montrons la Lune, le pseudo nous fait regarder les moyens comme un but en soi, nous relie à ce qui ne fait pas sens : pseudo spiritualité, rites, dogmes, superstitions, idolâtrie, esprit de clan.

Posons-nous alors la question : suis-je moi-même pseudo ? est-ce que je me suis inventé mon propre monde, un univers qui n'est pas celui de Dieu ?

Pour le savoir, il n'y a qu'à lire ce que nous dit la parole écrite de Dieu : selon la Bible, le Royaume est là, mais il n'est pas de ce monde :

est-ce que je suis du Royaume, ou du monde ?

Est-ce que je crois que le hasard, la chance, le destin, mènent ma vie, ou est-ce que je crois que c'est un Dieu d'amour qui conduit toutes choses pour mon bien, et que quand ce "bien" ne me semble pas "bien", ce n'est pas Dieu qui se trompe, mais c'est moi qui n'ai pas compris le message d'amour du Père ?
Alors je peux dire :
  • je peux regarder comme joie toute entière lorsque je tombe dans diverses épreuves (Jacques 1:2)

  • Je sais qu'aucune épreuve ne me saisit qui ne soit humaine, car Dieu ne permettra pas que je sois éprouvé au-dessus de mes forces, et avec l'épreuve Il fera l'issue pour pouvoir supporter (1 Cor 10:13)

  • J'ai auprès de lui cette assurance que si je demande quelque chose selon sa volonté, il m'écoute (1 Jean 5:14)

  • Dieu me fait toujours triompher en Christ (2 Cor 2:14)

  • Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans le monde (1 Jean 4:4)

  • Je puis tout par Lui, qui me fortifie (Phil 4:13)

  • Dieu me donne un esprit de force, d'amour et de sagesse (2 Tim 1:7)

  • Dieu pourvoit à tous mes besoins (Phil 4:19)

  • Je peux me décharger sur Lui de tous mes soucis car Il prend soin de moi (1 Pi 5:7)

  • Je suis libre car l'Esprit du Seigneur est en moi (2 Cor 3:17)

  • Christ prend mes infirmités et se charge de mes maladies (Mat 8:17)

  • Plus aucune condamnation ne repose sur moi (Rom 8:1)

C'est cela, le Royaume
Tout le reste n'est que pseudo réalité
source

La grâce

Qui d'entre vous, par le souci qu'il se donne, peut ajouter une coudée à sa croissance ? (Matthieu 6:27)

[Beaucoup] s'efforcent de progresser pour entrer dans la grâce, au lieu de progresser dans la grâce

[...] Les enfants d'Israël, avec leurs pérégrinations dans le désert, sont une image parfaite de ce genre de croissance. Ils voyagèrent pendant près de quarante ans, marchèrent beaucoup et ne connurent pratiquement aucun repos. Cependant, à la fin, ils n'étaient pas plus près de la terre promise qu'ils ne l'étaient au début. Lorsqu'ils partirent pour le voyage, en quittant Kadès-Barnéa, ils étaient déjà à la frontière du pays et quelques pas auraient suffi à les y faire pénétrer. Lorsqu'ils arrivèrent au terme du voyage, dans les plaines de Moab, ils étaient encore à la frontière. La seule différence, c'est que maintenant, ils avaient un fleuve à traverser, ce qu'ils auraient pu éviter au début. Toutes leurs pérégrinations et leurs combats dans le désert ne les avaient pas fait entrer en possession d'un pouce de terrain. Pour y parvenir, il fallait qu'ils y entrent d'abord.

[...] Mettez ensemble, cher lecteur, l'amour le plus tendre que vous connaissiez, le plus profond que vous ayez ressenti, le plus fort qui ait été répandu sur vous, mettez par-dessus tout l'amour de tous les coeurs humains les plus tendres du monde et multipliez-les ensuite à l'infini : alors, vous commencerez peut-être à vous faire une petite idée de l'amour et de la grâce de Dieu!

[...] Permettez-moi de vous supplier de cesser de faire des efforts en vue de votre croissance et de vous laisser tout simplement croître naturellement

(texte tiré de Le secret du chrétien pour une vie heureuse, de Hannah W.Smith)

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Citations de J.N. Darby sur la grâce :

Regardez-vous à votre propre coeur pour savoir si Dieu est satisfait ?

Oseriez-vous dire que Dieu n'est pas satisfait de son oeuvre ?

Voudriez-vous y ajouter quelque chose ?

Quant à moi, je vois une chose accomplie, sa justice : il l'a manifestée.

De quel côté vous tournez-vous, du côté de Dieu ou du vôtre, pour devenir autre que vous n'êtes ?

Trouverez-vous quelque ressource en vous-même ?

La mesure de ce qu'un chrétien doit être se trouve dans la grâce seule.

Dieu m'a parfaitement aimé, m'a donné sa justice et je comprends que je dois être à lui tout entier, corps et biens.


En contraste avec la loi qui exige, l'Évangile nous a fait connaître que Dieu donne, nous a apporté le don de Dieu.

La loi exige ce que nous devons être, Christ nous donne ce dont nous avons besoin, le salut.


Aucun raisonnement de notre coeur ne peut jamais s'élever jusqu'à la grâce de Dieu.

Pour être telle, elle doit découler directement et librement de Dieu.


Quand, dans la présence de Dieu, nous nous reposons sur sa grâce, rien ne peut nous troubler.


Demeurer dans le sentiment de la grâce dans la présence de Dieu, est tout le secret de la sainteté, de la paix et du repos du coeur.


Si vous croyez encore avoir, par nature, un bon désir dans votre coeur, vous n'avez pas compris la grâce.


La grâce applique l'amour de Dieu aux besoins de notre ruine.


Dieu veut que sa grâce nous suffise, et cela est plus précieux que si l'écharde en la chair nous était ôtée.


Jamais Dieu ne nous donnera ce qui peut nous faire oublier notre état de voyageurs dans le désert.

Il veut que sa grâce nous suffise - quand elle ne nous suffit plus, c'est que la chair agit en nous.

Il en est de la grâce comme de la manne : impossible d'en faire provision pour le lendemain, ni de compter sur la grâce d'hier - nous devons nous appuyer sur Dieu seul, dépendre de lui journellement, voilà son désir.

Si nous ne sommes pas satisfaits de voir la manne tous les matins, nous méprisons l'amour de Dieu.

La joie du fidèle est de comprendre cet amour et de vivre dans une continuelle dépendance de Dieu.


Nous sommes placés dans un lieu de difficultés, d'exercices et d'épreuves, mais nous avons la promesse que nous y sommes «gardés par la puissance de Dieu».

C'est pourquoi notre responsabilité apparaît : nous devons nous appuyer sur sa grâce à chaque instant.

Nous sommes placés journellement devant ces exercices pour montrer si nous sommes fidèles en nous appuyant sur sa force à lui et non sur la nôtre, jusqu'à la fin du voyage. Dieu mêle sa grâce à toutes nos épreuves.

Il n'a pas seulement opéré pour nous une rédemption éternelle, mais encore «il ne retire pas ses yeux de dessus le juste».


source

Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ?

Moïse ne vous a-t-il pas donné la loi ? Et nul d'entre vous n'observe la loi. Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ?
(Jean 7:19)

Ceux qui vivent encore selon le vieil homme religieux, non seulement ne respectent pas ce qu'ils prétendent respecter, mais en plus ils ne respectent pas Dieu Lui-même - ils cherchent à faire mourir Dieu en eux : la voix de leur conscience, l'évidence des circonstances, la lumière de la Bible.

Bien entendu, depuis Paul, on sait qu'on ne peut respecter la lettre, qui tue. Mais l'homme religieux en nous prétend pouvoir le faire : ce faisant, il n'a pas besoin du salut de Christ, de l'Esprit qui vivifie, et par conséquent il le "tue".

En admettant notre incapacité à respecter les normes de Dieu, nous chassons nos antiques habitudes de vieil homme et laissons en nous toute la place au Nouvel Homme : Christ en nous.

En chassant les habitudes qui nous restent du vieil homme qui tuait Dieu, nous laissons naître en notre crèche intérieure (notre coeur) le Fils qui grandira et mourra pour notre salut, notre metanoia : métamorphose de nos pensées, au Golgotha (lieu du crâne).

Christ seul peut sauver...

...mais on tue Christ lorsqu'on pense que :

  • le salut se fait par les oeuvres (alors Son oeuvre à la Croix devient inutile)
  • Jésus était juste un Sage, un prophète, un guérisseur
  • Jésus n'est pas Dieu
  • Jésus n'est pas ressuscité
  • Jésus a fondé une religion (Jésus sauve Lui-même, Il est Présence : Il n'a que faire de religion)
  • puisque nous sommes sauvés nous pouvons faire ce qui nous plaît
  • etc.

Jamais aucune religion ne sauvera : Christ sauve

Jamais aucune oeuvre d'homme ne sauvera : l'oeuvre de Christ à la Croix seule sauve

Nul autre que Dieu ne peut nous sauver

Jamais oeuvre de salut ne peut être valide si son auteur ne vainc pas la mort

source

Matthieu 8:20 et Luc 9:58

Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des demeures, mais le fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête

Nos animaux psychiques intérieurs (vieil homme rusé comme le renard) ont besoin d'un système de pensée pour se sentir à l'aise, par peur de l'inconnu (ou de l'Inconnu ?)

Idem pour nos animaux spirituels intérieurs (oiseaux du ciel), lorsqu'ils sont sans l'Esprit : ils se raccrochent à une religion...

Le Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête : pas besoin de dogmes rassurants, de théories bien ficelées qui rassurent - Christ n'est pas venu apporter une religion :

Il est Lui-même Chemin / Vérité / Vie

L'avoir, Lui, suffit : pourquoi vouloir se créer une théologie - se rassurer avec des dogmes figés - s'accrocher à des rites ?

Pour marcher vers la Jérusalem Céleste, délestons-nous des systèmes du vieil homme, du monde, du diable : sinon, comment avancer ?

Lorsque les portes de cette Jérusalem s'ouvriront, comment entrerons-nous chargés de tous ces fardeaux, comment cette ouverture sera-t-elle acceptée par notre esprit resté étroit ?

source

Le pain céleste, esprit qui purifie

Si vous nous lisez régulièrement, vous êtes au courant des interprétations suivantes concernant 1 Cor 15:29 et Luc 11:37-41 :

1 Cor 15:29 : se faire baptiser pour les morts ?

Traduction traditionnelle : que feraient ceux qui se font baptiser pour les morts ? Si les morts ne ressuscitent absolument pas, pourquoi se font-ils baptiser pour eux ?

Bible de Jérusalem, 2000 : que feront ceux qui se seront épuisés pour des morts ? Si ceux qui sont réellement morts ne ressuscitent pas, pourquoi s'épuiser pour eux ?

Cette traduction est très intéressante : le mot grec traditionnellement traduit par "baptiser" signifie littéralement "immerger", mais aussi "submerger" avec pour sens second "épuiser", comme dans "je suis submergé, épuisé (sous l'eau)".

Cette traduction de 1 Cor 15:29 par la Bible de Jérusalem (2000) a pour avantage, non seulement de ne pas être en complet décalage avec le contexte comme le sont les autres traductions, mais elle s'harmonise parfaitement avec les versets précédents et suivants.

La pratique d'un baptême pour les morts, que suggèrent les traductions traditionnelles, n'est attestée nulle part ailleurs.

Par contre, les efforts, jusqu'à épuisement, pour amener à une nouvelle naissance (naissance d'en haut) les morts spirituels, sont relatés dans les Actes et les lettres de Paul, entre autres.

Et ceux qui sont maintenant morts physiquement, pourquoi s'être épuisé à les mener au salut s'ils restent à jamais physiquement morts ?


Luc 11:37-41 : donner en aumône pour être pur ?

Comme il parlait, un Pharisien l'invita à déjeuner chez lui. Il entra et se mit à table. Le Pharisien fut étonné en voyant qu'il n'avait pas d'abord fait une ablution avant le déjeuner. Le Seigneur lui dit : "Maintenant vous, les Pharisiens, c'est l'extérieur de la coupe et du plat que vous purifiez, mais votre intérieur est rempli de rapacité et de méchanceté. Insensés ! Est-ce que celui qui a fait l'extérieur n'a pas fait aussi l'intérieur ? Donnez plutôt en aumône ce qui est dedans, et alors tout sera pur pour vous."

Cette dernière phrase est étrange et non cohérente avec ce qui précède. Le commentaire de la Bible de Jérusalem reconnaît d'ailleurs en note b : "Texte d'interprétation difficile". Mais si l'on quitte le grec pour l'araméen, on retrouve deux mots très proches : zakkau, qui signifie "faire l'aumône", et dakkau, "nettoyer, purifier". L'erreur de traduction apparaît alors clairement. Sans doute a-t-elle été faite à partir d'une copie défectueuse du texte araméen ou d'une mauvaise lecture. Quoi qu'il en soit, le verbe "purifier" a plus de sens ici que l'expression "faire l'aumône". La version parallèle de Matthieu (23:26) en apporte la confirmation et se révèle ainsi plus conforme à l'original : Pharisien aveugle ! purifie d'abord le dedans de la coupe, pour que le dehors aussi devienne pur.

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Voici à présent un apport sur le pain super-substantiel :

La Bible de Jérusalem 2000 donne en note de Luc 11:3 (donne-nous chaque jour notre pain...) cette variante : 

Que ton Esprit Saint vienne sur nous et nous purifie

Ceci rejoint l'explication disant que le pain super-substantiel est la nourriture céleste, Christ, notre Pain de Vie, Pain du Ciel, Nourriture spirituelle : Il nous nourrit à travers Son Esprit Saint.

Cette variante est bien entendu une interprétation du texte, mais pour celui/ceux qui l'ont donnée comme équivalente, elle avait le même sens que le texte qui est aujourd'hui dans nos bibles.

Ceci confirme que le pain dont il est question dans le Notre-Père est bel et bien notre nourriture spirituelle, éternelle, en plénitude, ici et maintenant.

Mettez votre salut en oeuvre

...mettez votre salut en oeuvre... (Philippiens 2:12)

Certaines traductions ont : "...travaillez à votre salut..."

Mais... depuis quand devons-nous faire quelque chose pour être sauvés ?

Quand donc les traducteurs de la Bible cesseront-ils de produire des textes qui contredisent ce que dit l'Esprit dans le reste de la Bible ?

Jusques à quand les éditeurs accepteront-ils de publier ces traductions psychiques émanant du vieil homme religieux ?

Combien de générations n'ont-elles pas souffert de ces traductions fausses, psychiques (voire démoniaques) ?

Dieu, en effet, est l'auteur de notre salut : nous sommes sauvés, et nous le montrons en mettant en oeuvre ce salut - le sens de ce verset s'harmonise avec le reste de la Bible si nous le comprenons ainsi...

Ce n'est pas "travaillez à votre salut (faites quelque chose pour être sauvés)", mais "mettez votre salut en oeuvre (vous êtes sauvés : montrez-le! produisez des fruits qui en sont dignes!)"

Bien sûr, le monde, la chair et le diable nous feront douter de ce salut si chèrement acquis par Christ à la Croix, lorsque nous trébucherons...

Raison de plus pour nous relever, et mettre en oeuvre ce salut!

La Bible, en effet, nous enseigne que Dieu terminera, parachèvera, mènera au but l'oeuvre qu'il a commencée en nous.

Note : Ceci renforce, et ne contredit pas comme certains pourront le croire, la parole de Jacques qui dit que la foi sans les oeuvres est morte : mettre son salut en oeuvre, c'est justement produire ces oeuvres qui montrent que le salut est là...!

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Louer pour toutes choses

Si quelqu'un prétendait vous indiquer le chemin le plus court et le plus sûr qui conduit au bonheur et à la perfection, il devrait vous conseiller, comme règle de vie, de remercier et de louer Dieu pour tout ce qui vous arrive. Car il est certain que, quelle que soit l'adversité rencontrée, vous la transformerez en bénédiction si vous louez et remerciez Dieu pour cette épreuve. (William Law)

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Heureux celui qui se soumet à la volonté de Dieu car le malheur ne l'atteint pas. Les hommes peuvent le traiter à leur guise... il ne s'en soucie pas, il sait que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. (Martin Luther)

Demandez à Dieu la grâce de voir sa main dans chaque épreuve, puis la grâce de vous y soumettre aussitôt. Non seulement de vous soumettre à cette épreuve, mais également de l'accepter et de vous en réjouir... Je pense que, parvenus à ce stade, nous voyons disparaître la plupart de nos ennuis. (Charles H. Spurgeon)

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