Prenons par exemple le chapitre 1 de l'évangile de Marc :
- presque tous les versets commencent par "et", comme si le narrateur était enthousiaste - presque essoufflé - de raconter son témoignage : n'est-ce pas plus réel, plus vivant ?
- lorsque Jésus parle, c'est au présent : Il nous parle encore aujourd'hui, dans l'éternel présent de Dieu
- les mots sont forts, rudes parfois : ce sont les personnes de caractère qui s'emparent du Royaume, pas les hésitants
- lorsqu'on traduit les mots non pas en patois de Canaan, mais en leur donnant leur vrai sens, le texte devient beaucoup plus clair, plus réel, et plus spirituel aussi...
Laissez-vous entraîner 2000 ans en arrière...