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La Bible : 3 nouvelles histoires vraies


Après La Bible : 3 histoires vraies, voici 3 nouvelles histoires vraies au sujet de la Bible.


Ce que la Bible a fait pour moi

À la fin d’une conférence dans un village du nord de l’Angleterre, Bradlaugh, membre du Parlement et athée militant, invita tous les assistants à une Charles Bradlaugh discussion. Une vieille femme toute courbée, vêtue à l’ancienne mode, s’avança et lui dit :
– Monsieur, j’aurais une question à vous poser.
– Bien, ma chère dame, qu’est-ce que c’est ?
– Il y a dix ans, je devins veuve. J’étais dénuée de toute ressource. Je n’avais plus que cette Bible. Par ses directives, en cherchant ma force auprès de Dieu, j’ai été rendue capable de subvenir à mes besoins et à ceux de ma famille. Je m’avance maintenant vers la tombe, mais je suis parfaitement tranquille. Voilà ce que ma religion a fait pour moi. Qu’est-ce que votre manière de penser a fait pour vous ?
– Madame, répondit-il, je n’ai nulle envie de troubler votre paix, mais…
– Oh, ce n’est pas là la question. Qu’est-ce que votre manière de penser a fait pour vous ?
Le conférencier essaya de nouveau de détourner la question, mais l’assemblée se mit à applaudir tumultueusement. Et M. Bradlaugh fut obligé de s’en aller, défait par une vieille femme.


Une Bible en de bonnes mains

Quelque part en Union Soviétique, un pasteur voyageait en train dans un compartiment presque vide. Il entama la conversation avec le seul autre passager, et très vite, la discussion porta sur la religion. Le pasteur écouta patiemment son interlocuteur vanter la logique de l’athéisme et critiquer la croyance religieuse. Puis il exposa son propre point de vue, sortant même sa Bible pour mieux en citer quelques passages. Mais l’athée resta sur sa position. Le pasteur aussi. Les voix s’élevèrent, la discussion s’échauffa sans qu’aucun des deux ne parvienne à convaincre l’autre.

Voyant l’inutilité de leurs efforts, les deux hommes finirent par se taire. Le pasteur s’absenta quelques instants, laissant sa Bible sur la banquette. A son retour elle avait disparu. L’autre homme était en train de refermer la fenêtre. Il venait de jeter la Bible afin d’empêcher le pasteur et toute autre personne de continuer à lire pareilles idioties. Trop tard pour la récupérer. Un silence pesant envahit le compartiment jusqu’à la fin du voyage.

Quelques mois plus tard, un inconnu se présenta au domicile du pasteur. Il venait d’un village voisin et annonça de but en blanc qu’il demandait le baptême. Surpris de cette visite, le pasteur voulut savoir de quelle paroisse il venait.
-D’aucune, répondit l’inconnu. Mais j’ai lu la Bible et je sais qui est Dieu. Je sais aussi que Jésus-Christ est Seigneur et je veux être baptisé pour devenir un de ses disciples.
-Votre Bible ? S’étonna le pasteur, sachant combien ce livre était rare, où avez-vous pu trouver une Bible ?
-Voyez-vous, c’est une drôle d’histoire, expliqua le visiteur. Vous me croirez si vous le voulez, mais je vous assure que c’est la vérité. Je suis maçon. Il y a quelques mois, comme je travaillais sur un chantier près de la voie de chemin de fer, il m’est arrivé une chose étrange. Alors qu’un train passait, un livre a jailli d’une fenêtre et est venu atterrir dans la poussière près de l’endroit où j’étais. Je suis allé le ramasser : c’était une Bible.

Le pasteur n’en revenait pas. Il demanda d’autres précisions et se rendit compte que ce devait bien être sa propre Bible que le maçon avait récupérée. L’avait-il prise avec lui ? Oui ! et en la voyant, le pasteur la reconnut aussitôt ! Le livre qui lui avait été bien utile pendants si longtemps avait à présent servi à un autre. Grâce à elle, il avait devant lui un nouveau converti qui demandait le baptême. Quand le pasteur lui raconta la suite et pourquoi elle avait été jetée par la vitre, le visiteur voulut la lui rendre, mais le pasteur refusa :
-non, insista-t-il, je ne peux pas accepter. Ce livre a fait des merveilles pour vous. Je veux que vous le gardiez. Moi, je prierai pour qu’il continue son oeuvre pour d’autres aussi.

Après avoir reçu le baptême, le visiteur s’en retourna débordant de joie, et raconta à qui voulait l’entendre ce qu’il avait découvert dans sa Bible. En quelques années, tous les habitants du village s’étaient convertis. Une nouvelle communauté chrétienne était apparue. Tout cela grâce à une Bible qu’un athée avait jetée rageusement par la fenêtre ! Voilà la valeur d’une seule Bible placée en de bonnes mains ! Ici Dieu Lui-même s’en était chargé…


Par la lecture d’un Nouveau Testament

Le pasteur Gurland rendit visite à un Juif de 82 ans qui vivait misérablement dans une hutte et lui lut quelques paroles consolantes de l’Ancien Testament. L’homme l’interrompit et lui dit :
– Ce sont là de belles paroles. Mais je connais une médecine encore meilleure qui ne soulage pas seulement les maux, mais les guérit : le sang de Jésus, le Fils de Dieu, nous purifie de tout péché
– Comment êtes-vous arrivé à cette conviction ? L’homme sortit un Nouveau Testament hébreu de dessous la paille :
– Voilà la source de ma vie. Moïse, les prophètes et les psaumes m’ont réconforté, mais seul Jésus m’a sauvé.
– D’où tenez-vous ce Nouveau Testament ?

Le vieillard sourit et raconta :
– Il y a deux ans, je me suis rendu avec mon fils aîné à Riga. La nuit, nous avons dormi sur la paille dans une auberge. Mon fils trouva un livre qu’il voulut rendre à l’aubergiste le lendemain matin. Celui-ci, constatant qu’il était en hébreu, dit : « Je ne peux pas le lire. C’est le vieux Simon qui a dû le perdre. Vous pouvez le garder. » Mon fils a lu le livre et a trouvé la foi, mais il est mort de la typhoïde. Ses dernières paroles furent : « Papa, je vais auprès du Seigneur Jésus. Veille à ce que toi-même et mes quatre enfants, vous trouviez aussi le salut auprès de Jésus. » La lecture du livre m’a amené à la foi en Jésus et j’ai pu y conduire également mes petits-enfants.

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