La bête blessée du livre de l'Apocalypse, c'est l'empreinte du vieil homme en nous. Il est normal que le vieil homme semble souffrir : il a été en agonie. Mais plutôt que de laisser cette empreinte du vieil homme mourir, de s'en libérer et se laisser transformer, métamorphoser par le Père, notre chair la soigne par la religion, la morale, la culture, tout ce qui, aux trois niveaux (somatique, psychique, spirituel) est euphorisant.
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